Ce week end, Libération a eu la bonne idée de nous changer les idées en évoquant un sujet sensible: le rejet de la démocratie électorale. Dans notre monde plus que jamais régit par le système capitaliste, toujours plus inégalitaire, doit-on s'attendre au retour des utopies ?
L'une des figures intellectuelle de ce positionnement, c'est le philosophe Alain Badiou. Reconnu dans le monde entier, le plus célèbre des philosophes français est considéré comme l'un des dernier révolutionnaire. Redouté et critiqué, il évoque le recours à la violence comme seul moyen de résistance des "opprimés" (au sens large, les sans papiers, les "petits employés").
Son opposition de toujours au communiste étatique (et donc au communisme soviétique) est un argument de poids face à ceux qui voient en lui un "nostalgique" du totalitarisme, du goulag et de la terreur.
Ci dessus, son dernier ouvrage.
Pour enrichir cette présentation, un entretien avec Alain Badiou, diffusé sur France 3 (service public !).
Je completerai cet article dans les jours à venir avec le texte d'un ami sur la soirée du 6 Mai 2007, simple compte rendu d'un agitateur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire