img { max-width: 860px; width: expression(this.width > 860 ? 860: true); }

12.11.08

The Walkmen: They're winning...



Il y a quelques semaines, j'ai vu les Walkmen. A quelques mètres (à peine) des musiciens, j'ai non seulement vécu l'un des concerts les plus marquant de ma vie, mais j'ai pu aussi mesurer a quel point j'étais admiratif de ce groupe. De sa musique, de ses textes, de son image, de son univers. Cet univers est peut etre poetique, mais tellement sombre que j'imagine que ça doit vouloir dire quelque chose...

J'y suis allé seul par choix: cela faisait des années que j'ecoutais ce groupe seul, en revassant, qu'il me semblait normal d'aller vivre ce "grand" moment seul. Je n'ai pas été déçu.

Depuis le choc du premier album Everyone who pretented to like me is gone (je me rappelle avoir ecouté 5 ou 6 fois l'album de suite, une soirée d'hiver dans ma piaule), j'ai jamais été déçu par le groupe, meme si les deux premiers albums restent les meilleurs, les plus écoutés.
Meme cet album quasi joyeux, Pussy Cats, reprises de recueil de reprises d'Harry Nilsson, m'emerveille.

Probablement que je me lasserai de cet univers, cet espèce d'underground litteraire qui raconte le desespoir, la depression, l'instabilité amoureuse, l'alcool et les drogues... Mais pour l'instant, je n'ai pas trouvé mieux. Rien ne me transporte plus que l'ecoute d'un Walkmen.
Je ne me lasse pas de voyager dans ce New York torturé, ce Boston chaotique, ce Sud si melancolique.

Comme ils le disaient dans l'un de leur premiers titres... They are winning. Je suis devenu une espece de fan, aveugle.

Aucun commentaire: